Petit sorcier veux apprendre

Bon c’est décider aujourd’hui je me lance, je vais enfin prendre les choses en main et aller voir ce Magnus Bane pour savoir si il peut m’apprendre à contrôler ma magie ou pas.
De ce que j’en sais ce grand sorcier a environ 400ans se qui veux dire que je n’ai qu’à peine plus de la moitié de son âge, je devrais donc être simple, respectueux et humble, car je serais surement qu’un jeune garçon innocent à ses yeux.
Donc cela doit déjà passer pas les vêtements que je vais porter, bon simple, chic et élégant. Ce sera chemise blanche, gilet de costume noir, pantalon assortie au gilet et cravate bleu roi.

Je me passai un coup de peigne, pris mon téléphone, mes clés et parti.
J’eus évidement besoin de mon téléphone pour trouve le chemin sans me perdre a plusieurs reprise. Une fois arriver devant l’immeuble que m’indiquer le GPS, je regardai en l’air, il était assez grand et simple, mais il ne faut pas ce fiait à l’apparence elles sont souvent trompeuse.

Je réussi a rentrais, puis regarda immédiatement sur les boite au lettre pour trouver à quel étage Magnus Bane se trouvait. Une fois trouver je pris les escaliers et monta jusqu’à l’étage indiquer.

Ouf j’arrivais bientôt au bout de mes peines enfin pour ce qui est de trouvé l’appartement du sorcier après c’est une autre paire de manche plus délicate.
Une fois devant la porte je soufflai mais bizarrement j’avais peur, je ne savais pas qui il était vraiment, ni comment il est, je ne sais pas si il est plutôt bon ou mauvais, et je ne sais même pas quoi lui dire.

Que faire dans ce cas, deux possibilités soit je me dégonflé et je pars, sois je prends mon courage a deux mains et je toque. En réfléchissant bien je me dis que la première était tentante mais que mon père se retournerais dans ça tombe, je choisi donc la second option.
Je me repris en mains et toqua a la porte du sorcier, et puis pour la suite on verra, si déjà il ouvre la porte et me la referme pas juste après ce sera déjà un bon point.

Maintenant plus qu’à attendre, les secondes me paraissais être comme des long heures interminable et insoutenable.